Équipement géophysique à proximité dans la situation actuelle

Le gâteau NSG (Géophysique presque surface) se rétrécit!

Localement, l'industrie de la géophysique proche de la surface (NSG) est pleinement entre les mains des clients alors que les projets disponibles diminuent et deviennent rares. Alors que de plus en plus de joueurs entrent dans l'industrie, ils peuvent dicter à qui ils veulent attribuer les projets géophysiques. Le coût, pas les antécédents ou la qualité, est le principal critère que les clients recherchent. Les entrepreneurs géophysiques prêts à aller aussi bas que possible auront les plus grandes chances de gagner l'offre. C'est là que le Les universités ont le bord supérieur lorsqu'ils rejoignent la mêlée. Ils ont de l'équipement, de la main-d'œuvre bon marché (les étudiants) et des logiciels coûteux à leur disposition. Ils peuvent simplement citer le prix qui est acceptable pour les clients. Avec le professeur, Assoc. Le professeur, et le Dr devant leurs noms, ils commandent une forte autorité en ce qui concerne les clients. Franchement, j'ai vu certaines des œuvres géophysiques projetées par les universités qui, malheureusement, n'ont rien à crier. Cependant, la vraie question est: les universités devraient-elles être impliquées dans la réalisation d'œuvres géophysiques de routine et ainsi rétrécir davantage le gâteau NSG?

Quelqu'un m'a mentionné comment, en Chine, les chercheurs des universités collaborent avec l'industrie pour commercialiser leurs résultats. Les chercheurs feraient la recherche et le développement (y compris l'instrumentation et les logiciels) et partageraient leurs résultats avec des sociétés géophysiques pour la commercialisation. J'ai également rassemblé ces faits d'étudiants qui poursuivent leurs diplômes à l'avance en Chine. Eh bien, je crois que c'est un bon modèle à imiter les universités locales. Outre leur cœur de métier à enseigner, ils devraient effectuer une R&D qui profitera à l'industrie. Ils ne devraient pas rivaliser avec les professionnels / praticiens.

Peut-être que les chercheurs locaux sont trop détachés avec les réalités de l'industrie NSG et ne savent pas quel type de recherche à faire. Eh bien, je peux en énumérer quelques-uns comme suit:

(i) magnétique du drone. J'ai observé qu'il y avait beaucoup de recherches en cours à l'échelle mondiale. Localement, je peux dire que presque rien n'a été fait.

(ii) Magnetotellurics (AMT en particulier) pour l'exploration minérale. Beaucoup de travail se déroule en Chine pour examiner la minéralisation dans la plage de profondeur de 500 m à 2000 m. Ils ont qualifié cela de «profondeurs de niveau intermédiaire».

(iii) Polarisation induite par étalé spectrale (SSIP) pour l'exploration minérale. Encore une fois, beaucoup de travail se déroule en Chine.

(iv) Mappage à tête de roche peu profonde à l'aide de la méthode de gravité. Il devrait y avoir des recherches intenses à ce sujet car elle est essentielle pour une enquête géotechnique, en particulier dans un environnement urbain serré.

(v) Amélioration et amélioration de la réponse TEM dans un environnement de rotement dur, en particulier pour la détection des fractures dans l'exploration des eaux souterraines.

(vi) Développement logiciel pour l'analyse de la qualité des données ERT (pas d'inversion) avant l'inversion 2D. J'aspire à avoir des fonctions de filtrage et de lissage dans l'analyse des données ERT au lieu d'exterminer et de supprimer des données